Créé en 1988 à l’initiative d’Anna Parus, l’Ensemble Vocal Arianna se consacre à des œuvres de musique classique de la Renaissance à nos jours, interprétées a cappella, avec accompagnement de piano, d’orgue ou d’un ensemble instrumental. 
Au cours des années, l’ensemble a abordé des œuvres aussi bien religieuses que profanes. Pour les œuvres religieuses, citons, par exemple, les messes de Gounod et Bruckner ou les motets de Britten, Rossini, Mendelssohn et Pärt. Pour les œuvres profanes, citons les Lieder de Brahms, les pièces vocales de Janequin et Rossini, les extraits d’opéras de Grieg et Verdi, les chants traditionnels harmonisés français, roumains ou catalans. Dans l’ensemble, le répertoire d’Arianna a été plutôt centré sur la période romantique mais sans négliger les périodes antérieures et surtout postérieures (jusqu’au XXIè siècle).

Si Arianna a interprété certaines des œuvres emblématiques du répertoire choral, entre autres le Requiem de Fauré et la Messe en Ré de Dvořàk, son répertoire inclut, en majorité, des œuvres beaucoup moins connues telles que le Salve Regina de Pärt, le Requiem de Puccini, le Dona Nobis Pacem de Vasks, le Credo de Lotti, etc. 


Arianna participe régulièrement à des concerts rassemblant plusieurs chœurs de la Métropole bordelaise et/ou de la Région. Par exemple, il a été sollicité pour se joindre au concert exceptionnel du cinquantenaire Poulenc (Stabat Mater, décembre 2013) à l’invitation du chœur Stella Montis, œuvre présentée avec un Orchestre Symphonique en la Basilique Saint-Seurin à Bordeaux. En 2015, Arianna a chanté à l’Auditorium de Bordeaux dans le cadre des manifestations organisées par l’association Eufonia pour le premier Festival International de chant choral Eufonia. Avec plusieurs chœurs girondins, il a aussi récemment participé à deux créations d’œuvres contemporaines : Bacchanales au Rocher de Palmer en 2012, Odyssée dans l’espace à l’Auditorium de Bordeaux en juin 2014. 
La participation d’Arianna à la vie culturelle de la Ville de Pessac se manifeste par ses propres concerts ou, régulièrement, en relation avec d’autres partenaires pessacais : concerts avec l’Orchestre Symphonique de Pessac, en collaboration avec le Comité de Jumelage de la Ville de Pessac, interventions au cours des fêtes de la Sainte Cécile et de la Musique. En fé́vrier 2016, Arianna a présenté Esther de Racine, mis en musique par Jean-Baptiste Moreau, en collaboration avec le Théâtre des 3 Coups. 
En octobre 2016 le public a grandement apprécié un programme Shakespeare comportant des œuvres de compositeurs allant de Gounod à Mäntyjärvi et des textes de Shakespeare joués par deux comédiens de Une Compagnie.L’église St-Vincent de Mérignac a accueilli en 2017 un concert d’œuvres de Bach (Cantate BWV 4) et de Vasks (Missa), deux œuvres accompagnées à l’orgue par Stéphane Trébuchet. En 2018 le chœur fête ses 30 ans avec un premier concert anniversaire donné le 1er mai à Pessac  puis avec la présentation à la Cathédrale de Bordeaux, le 30 novembre, de la Messa per Rossini  proposée pour la première fois au public de Nouvelle-Aquitaine. 

Arianna organise aussi régulièrement des échanges avec des chœurs étrangers : le chœur Ireneu Segarra de Palma de Mallorca en 2011-2012 ou le chœur La Badinerie de Louvain-La-Neuve, près de Bruxelles, en 2014. Créé en 1988 à l’initiative d’Anna PARUS l’Ensemble Vocal Arianna se consacre à des œuvres de musique classique de la Renaissance à nos jours, interprétées a cappella, avec accompagnement de piano, d’orgue ou d’un ensemble instrumental. 


Au cours des années, l’ensemble a abordé des œuvres aussi bien religieuses que profanes. Pour les œuvres religieuses, citons, par exemple, les messes de Gounod et Bruckner ou les motets de Britten, Rossini, Mendelssohn et Pärt. Pour les œuvres profanes, citons les Lieder de Brahms, les pièces vocales de Janequin et Rossini, les extraits d’opéras de Grieg et Verdi, les chants traditionnels harmonisés français, roumains ou catalans. Dans l’ensemble, le répertoire d’Arianna a été plutôt centré sur la période romantique mais sans négliger les périodes antérieures et surtout postérieures (jusqu’au XXIè siècle).